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Éditions Fayard
un choix de Vincent |
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Éditions Albin Michel
Un choix de Faustine |
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Éditions Gallimard
Un choix de Faustine |
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Éditions du Seuil
Un choix de Faustine |
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Les Éditions de Minuit
Un choix d’Hélène |
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Éditions du Seuil
Un choix de Faustine et Valentine |
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Éditions Zulma
Un choix d’Hélène et Vincent
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Éditions Actes Sud
Pedro, jeune acteur haïtien qui commençait à remporter des succès, se suicide alors qu’il effectuait une tournée outre-mer. Deux amis restés au pays natal s’efforcent de comprendre les motifs de ce geste fatal. Ils réaliseront à quel point les difficultés sociales et personnelles ont incité Pedro à se perdre en vain dans la multiplicité des rôles, ce qui l’a conduit au désespoir. Un choix unanime |
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Éditions de Minuit
Un choix de Faustine et d’Hélène
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C’est l’histoire d’une rupture amoureuse, une nuit, à Tokyo. C’est la nuit où nous avons fait l’amour ensemble pour la dernière fois. Mais combien de fois avons-nous fait l’amour ensemble pour la dernière fois ? Je ne sais pas, souvent.
Pourquoi m’a-t-on offert un téléphone portable le jour même de mon arrivée en Chine ? Pour me localiser en permanence, surveiller mes déplacements et me garder à l’oeil ? J’avais toujours su inconsciemment que ma peur du téléphone était liée à la mort - peut-être au sexe et à la mort - mais, jamais avant cette nuit de train entre Shanghai et Pékin, je n’allais en avoir l’aussi implacable confirmation.
L’orage, la nuit, le vent, la pluie, le feu, les éclairs, le sexe et la mort. Plus tard, en repensant aux heures sombres de cette nuit caniculaire, je me suis rendu compte que nous avions fait l’amour au même moment, Marie et moi, mais pas ensemble. |
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Éditions Gallimard
Un choix de Faustine |
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Éditions Buchet/Chastel
Un choix de Danielle |
Les derniers coups de coeur de






Dans un Paris à l’ambiance asphyxiante, le narrateur rencontre André, un écrivain souhaitant fonder une secte spécialement adaptée à la population de la ville. Après avoir établi les grandes lignes de cette nouvelle religion, les deux hommes se mettent en quête d’un lieu de culte au sein des périmètres sécurisés de la capitale (entrepôts de marchandises, cabinets d’avocats, etc.).
« L’amour, ce mot ne finit pas de bégayer en elle, violent et incertain. Sa profondeur, sa vérité ne cessent de lui échapper, depuis l’enfance, depuis toujours, reculant chaque fois qu’elle croit l’approcher au plus près, au plus brûlant. L’amour, un mot hagard. »
Chaque matin, dans le café où elle prend son petit déjeuner, l’éditrice madrilène María Dolz observe un couple qui, par sa complicité et sa gaieté, irradie d’un tel bonheur qu’elle attend avec impatience, jour après jour, le moment d’assister en secret à ce spectacle rare et réconfortant.
En 1721, Philippe d’Orléans prévoit de marier Louis XV avec la très jeune infante espagnole Maria Anna Victoria. Il propose aussi de donner sa fille Mademoiselle de Montpensier comme épouse au jeune prince des Asturies, héritier du trône d’Espagne. L’échange des princesses a lieu en 1722 en grande pompe. Mais rien ne marche comme prévu, et chacune des princesses retourne dans son pays.
Rien de tout cela ne serait arrivé s’il n’y avait pas eu ce moineau.
Récit autobiographique de la quête d’identité de l’auteure, et à travers elle, celle des femmes engagées dans la bataille pour leur liberté. Mères, amantes, amies, écrivains, modèles, adorées ou honnies, J. Winterson leur rend hommage dans ces mémoires d’une jeune fille issue du prolétariat de Manchester.
Avant ou après, il vous faudra également lire Les oranges ne sont pas les seuls fruits ! Un roman autobiographique dans lequel l’auteure évoque son enfance au sein d’une famille très pieuse (c’est peu dire) et ses premières relations homosexuelles.
«Mon neveu Marteinn est venu me chercher à la maison de retraite. Je vais passer le plus clair de l’été dans une chambre avec vue plongeante sur la ferme que vous habitiez jadis, Hallgrímur et toi.» Ainsi commence la réponse – combien tardive – de Bjarni Gíslason de Kolkustadir à sa chère Helga, la seule femme qu’il aima, aussi brièvement qu’ardemment, d’un amour impossible. Et c’est tout un monde qui se ravive : entre son élevage de moutons, les pêches solitaires, et sa charge de contrôleur du fourrage, on découvre l’âpre existence qui fut la sienne tout au long d’un monologue saisissant de vigueur. Car Bjarni est un homme simple, taillé dans la lave, pétri de poésie et d’attention émerveillée à la nature sauvage.
La robe en miel était le point d’orgue de la collection automne-hiver de Marie. À la fin du défilé, l’ultime mannequin surgissait des coulisses vêtue de cette robe d’ambre et de lumière, comme si son corps avait été plongé intégralement dans un pot de miel démesuré avant d’entrer en scène. Nue et en miel, ruisselante, elle s’avançait ainsi sur le podium en se déhanchant au rythme d’une musique cadencée, les talons hauts, souriante, suivie d’un essaim d’abeilles qui lui faisait cortège en bourdonnant en suspension dans l’air, aimanté par le miel, tel un nuage allongé et abstrait d’insectes vrombissants qui accompagnaient sa parade. Dernier volet de la série composée de Faire l’amour, Fuir et de La vérité sur Marie.
Fuir
La vérité sur Marie
À Paris, rencontre entre un homme qui a choisi de vivre dans sa voiture et un groupe de sans-papiers masqués. Se faisant appeler les renards pâles, du nom du dieu anarchiste des Dogon du Mali, ils défient la France. Comme l’homme solitaire, ils attendent la révolution.
Louis est un écrivain en panne d’inspiration. Il s’isole chez lui, se traîne de pièce en pièce sans aucune énergie. Sa compagne Olivia le quitte. Un vieil ami éditeur, François, l’appelle pour lui proposer de rédiger les mémoires d’un ancien prisonnier célèbre. Louis accepte. C’est un nouveau départ, il découvre l’ennui des entretiens mais la joie renouvelée d’écrire.