« Je ne t’ai pas vu hier dans Babylone »Antonio Lobo Autunes |
« Lock the lock » Tommy TRANTINO13e notes éditions Sous influence de la Beat Generation (Kerouac, Burroughs, Ginsberg), Trantino nous présente ses carnets de prison. Récits de son passé tumultueux, poèmes, dessins, fantasmes et délires, ce condamné à mort (gracié et libéré en 2001) se livre sans tabou… ni remords. « Lock the lock », plus qu’un objet littéraire singulier est une célébration de l’envie depuis le couloir de la mort. |
« Le sommeil du caïman » , Antonio SOLEREd Albin Michel Toronto, de nos jours. Le narrateur, réceptionniste dans un hôtel, croit reconnaître un homme surgi de son lointain passé. Plongeant dans ses souvenirs, il revit alors comme une hallucination les années sombres du franquisme qui l’ont conduit à la prison, la torture et l’exil et revoit défiler son enfance. Histoire de trahison et de solitude, ce texte sous tension, intelligent et beau, continue à résonner longtemps après avoir découvert ses dernière pages… « Je refais le chemin. Ce soir je refais mentalement ce voyage (…) Je voyais passer des êtres vivants par la vitre de l’autobus. Des enfants marchant par des sentiers étroits et ombragés, des hommes conduisant des camionnettes comme si le monde était parfait(…) ». Par l’auteur du « Chemin des Anglais » Prix Nadal en Espagne |
« La vaine attente », Nadeem ASLAMEd. du Seuil Afghanistan, de nos jours. Un vieil homme pleure sa femme tuée par les talibans et sa fille enlevée par les Russes des années auparavant. Enfermé dans sa demeure aux murs ornés de fresques cachées et aux plafonds tapissés de livres cloués, il recherche son petit fils qu’il n’a jamais connu. Par l’auteur de « la Cité des amants perdus » |