Érik Porge
Erik Porge
Samedi 6 septembre
16h00
Autour de son ouvrage « Des fondements de la clinique psychanalytique » publié aux éditions Érès. Erik Porge poursuit ici le travail engagé de Transmettre la clinique psychanalytique (Érès, 2005) en revenant aux principes qui en conditionnent la transmission. Parler de fondements, c’est participer à un mouvement de retour aux origines, nécessaire à accomplir pour trouver le bon chemin, la bonne méthode, pour trouver le bon pas, aux deux sens du terme, celui de la marche et celui de la négation. Cela est particulièrement important aujourd’hui où la psychanalyse, fragilisée par ses succès qui ont galvaudé son vocabulaire, soumise à de violentes attaques frontales et au consumérisme ambiant, peine à être reconnue autrement que comme une forme parmi d’autres de psychothérapie. Dans cet ouvrage, Erik Porge borne la clinique psychanalytique avec deux valeurs fondamentales, la coupure et le retour, qui se nouent à la topologie lacanienne. Soutenant que l’originalité de la psychanalyse ne s’appuie pas sur un appareil conceptuel systématisé mais sur une habitation de la langue avec des fenêtres sur l’inconscient, il propose une première liste de vocabulaire commun au langage de la topologie, de l’analyse et de la langue. Erik Porge est psychanalyste à Paris. Praticien hospitalier à temps partiel, il est responsable d’un CMP enfants-adolescents. Ancien membre de l’EFP jusqu’à sa dissolution, il est actuellement membre de la lettre lacanienne, une école de la psychanalyse. Cofondateur de Littoral, il dirige la revue Essaim. Cette rencontre est organisée à l’initiative de Divan d’Ouest et de la Lettre Lacanienne. Le débat sera animé par Éric Bordas et Jean-Louis Meurant.














Rencontre avec Christine Levy traductrice de l’ouvrage Dialogues politiques entre trois ivrognes, écrit par Nakaé CHOMIN et publié aux éditions CNRS. En 1887, Dialogues politiques entre trois ivrognes de Nakae Chômin ouvre le débat sur l’avenir du Japon entre la vision démocratique et pacifiste d’un côté et la visée expansionniste sur le continent asiatique de l’autre pour créer un rapport de forces face aux puissances occidentales. Le maître qui refuse de réduire les principes de la démocratie à une simple hypocrisie, explorant les correspondances entre la pensée occidentale et la pensée politique chinoise classique, veut croire à une solution qui fera avancer progressivement le Japon vers la démocratie et le maintiendra dans une politique pacifique avec ses voisins, tout en déplorant la paranoïa et la démagogie des media, sources d’hystérie nationaliste contre la Chine. En 1901, Kôtoku Shûsui, disciple de ce même Chômin, rédigea sa première œuvre, le premier texte écrit en japonais pour dénoncer l’impérialisme en général et l’impérialisme japonais en particulier. Fondateur du premier parti socialiste au Japon, aussitôt interdit, puis du courant anarchiste au Japon, Kôtoku, alors grand journaliste lança, dès 1901, une campagne pour dénoncer les officiers qui s’étaient enrichis en pillant la Chine lors de la participation du Japon à la répression de la révolte des Boxers. Certains historiens considèrent même que c’est à ce moment qu’il signa son arrêt de mort. Le premier courant socialiste au Japon est né dans le rejet du nationalisme et du militarisme faisant preuve d’un internationalisme exemplaire durant la guerre russo-japonaise de 1904-1905. La décision de la mise à mort de tous ces militants, quelques mois avant l’annexion de la Corée, en août 1910, révèle l’enjeu politique majeur que représentait pour le pouvoir, l’élimination de ce courant internationaliste. L’accusation de crime de lèse-majesté mènera à la condamnation capitale vingt-quatre militants. Cette affaire, connue aussi sous le nom de l’Affaire Kôtoku, n’a pas fini de susciter de interrogations quant à sa signification historique.
Rencontre avec Nicole Malincolini, autour de son ouvrage Vous vous appelez Michelle Martin, publié aux éditions Denoël. Ce livre est issu de la rencontre de Nicole Malincolini avec Michelle Martin, la compagne de Dutroux. Les entretiens ont eu lieu pendant un an, à la prison de Namur. L’auteure est restée fidèle et respectueuse de la parole de Michelle Martin. Cette dernière a refusé la publication. Elle nous donne un éclairage de ce qu’est l’opération mentale que Freud et Lacan ont appelé un déni, consistant à apercevoir et dans un même temps à nier ce qui est entrevu. Débat animé par Isabelle Morin, psychanalyste à Bordeaux, docteur en psychopathologie, elle est par ailleurs membre de l’association de psychanalyse Jacques Lacan, AP-JL.
La revue (sik), revue de création littéraire et graphique de Bordeaux, est née il y a près de trois ans, à l’initiative d’étudiants désireux de créer une plate-forme de publication libre. La revue (sik) est la photographie à un instant t d’un atelier d’écriture et de la succession des numéros naît un film cohérent par un graphisme sériel et la permanence de certains auteurs. Nous offrons à nos lecteurs un théâtre vivant de création. Publiant théâtre, brouillons, peintures, proses, ratures, photographies, biffures, vers ou dessins, à raison de trois numéros par an, la revue (sik) trouve son unité à chaque numéro par un ordre recréé entre des textes apparemment distincts, saisissant en leur actualité une essence et des chimères communes. Nous ne publions pas des livres. Nous ne publions pas des œuvres. Nous sommes une recherche publique collective et, par nos expressions ponctuelles, s’esquisse, peut-être, un manifeste.» (Jean Renoux)
Rencontre avec Christian Jean dit-Cazaux et Michel Pétuaud-Létang autour de leur ouvrage J’ai deux mots à vous dire, publié chez Aéditions. Les encres noires de Michel Pétuaud-Létang illustrent la poésie blanche de Jean dit-Cazaux.




















Rencontre, débat avec François Bégaudeau, autour de son roman 




Avec des lectures en islandais par les écrivains et en français par André LIMOGES, professeur d’art dramatique.





































Rencontre avec Jean Esponde autour de son livre « La mort de Roland » publié aux 





Stéphanie Reiss dédicace son ouvrage « Les mains du vin, le coeur de la terre » publié aux
Rencontre avec Fatou Diome, autour de « Mauve » co-écrit avec Titouan Lamazou publié aux
Rencontre avec Roland Gori, autour de son ouvrage « De quoi la psychanalyse est-elle le nom? » publié aux 


















Venez nous retrouver à l’Escale du livre dans le quartier Sainte Croix à Bordeaux. Cette année encore, nous avons le plaisir de représenter des éditeurs qui nous sont chers : les éditions du Seuil, de l’Olivier (dont nous fêterons les 20 ans), Sabine Wespieser, Grasset, Verticales, Bourgois, Minuit, Métailié, Verdier et Liana Lévi. Rencontres, débats, signatures et échanges sur vos lectures sont au programme.
























Nous recevons Denis Lachaud autour de son dernier roman, J’apprends l’hébreu, paru aux éditions Actes Sud.
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deux auteurs, Jeanne Benameur et Philippe Lacadée qui présenteront chacun le livre de l’autre et qui tous les deux traitent de la solitude. Solitude d’Antoine qui « flotte dans sa peau et son identité, à la recherche d’une place dans le monde ». Solitude de Robert Walser qui cherche à réduire sa vie à n’être rien qu’un « ravissant zéro tout rond » (Institut Benjamenta).
































Rencontre autour de son livre L’offrande (éditions Albatros).


Autour de son roman Histoire de l’oubli (éditions Albin Michel).


Autour de son livre L’Homme et cetera (éditions Espaces 34).
Hommage joyeux à la mémoire de Sergio Guagliardi à l’occasion de la sortie de Là, etc. (éditions L’Harmattan).
C’est à une soirée particulière que nous vous invitons.
Avec Sylvie Ayral, pour son ouvrage La fabrique des garçons, sanctions et genre au collège (Presses Universitaires de France).

Thierry Discepolo est le directeur des éditions Agone, où il vient de publier La trahison des éditeurs.
Carole Timsit dédicacera son ouvrage Libourne, une ville ; de Robert Boulin à Gilbert Mitterrand (éditions L’Harmattan) à la librairie à partir de 18h30.
Pour leurs ouvrages respectifs : Lucy, – 3 000 000 et Préhistoires de France publiés aux éditions Confluences.
Pour son livre : L’urgence industrielle ! (éditions Le Bord de l’eau).
Pour l’ouvrage publié sous l’égide de l’association Mnémosyne et qu’elle a co-dirigé : La place des femmes dans l’histoire (éditions Belin).
Présentation par Eddy Dufourmont et Christine Lévy (maîtres de conférences à l’université Bordeaux III) du recueil : Un an et demi (éditions Les Belles lettres).
Lectures d’Onde générale (éditions Flammarion).
Signature dédicace du livre qu’il vient de publier avec le Père Jacques Turck : Extrême droite, pourquoi les chrétiens ne peuvent pas se taire ? (éditions de l’Atelier).
Des acteurs et des musiciens surprennent les passants dans l’espace public,
Pour son ouvrage La Métamorphose de Nicolas Sarkozy, publié aux éditions Jacob-Duvernet.
Autour du recueil collectif : Des trains à travers la plaine, coffret Bashung (éditions Atelier in8).
Avec Denis Retaillé pour son ouvrage : Les Lieux de la mondialisation (éditions Le Cavalier Bleu)
Pour son livre Draguer l’évidence (Éric Pesty éditeur).
Pour son ouvrage : Démocratie précaire, chroniques de la déraison d’État (éditions La Découverte).
Autour de son livre : Sur un lit de couleurs (éditions Les Arènes).
Pour son livre : On agite un enfant (éditions La Fabrique).
Conférence de Delphine Gachet, enseignante à l’université Michel de Montaigne – Bordeaux III. Elle a soutenu une thèse de doctorat en littérature comparée sur les nouvelles fantastiques françaises et italiennes du XXe siècle. Lectrice passionnée de Buzzati, elle est devenue spécialiste de cette œuvre à laquelle elle a consacré de nombreux travaux. Depuis plusieurs années elle s’occupe de l’Association des Amis de Dino Buzzati dont la vocation est de diffuser, de faire connaître et d’étudier l’œuvre de l’écrivain italien. Pour les éditions Robert Laffont, elle a choisi et présenté les textes rassemblés dans le deuxième volume des Œuvres de la collection « Bouquins ». Elle a également traduit deux volumes de nouvelles de Buzzati inédites en France publiés dans la collection « Pavillons » : Nouvelles inquiètes (2006), Nouvelles oubliées (2009). Une troisième traduction sera publiée l’an prochain.
Autour de son ouvrage : Face à faces : peuples du monde (éditions La part des anges).
Pour son livre Crise publié aux éditions Confluences.
Autour du livre N° d’écrou 1926 (éditions le Festin, les Cahiers de l’Éveilleur).
Autour de son dernier ouvrage Somaland, publié aux éditions Allia.
Autour de leur ouvrage « La Prison doit changer, la prison va changer », avait-il dit (éditions Flammarion).
Pour son livre : Lacan et la honte publié aux éditions du Champ lacanien.
Véronique André et Marie Mellac, autour de l’ouvrage collectif : Justice et injustices environnementales, publié aux Presses universitaires de Paris Ouest.
Séance de dédicace jeunesse.
À l’occasion de la parution du dossier Où va l’école de la revue
Autour de son livre Le Roi Lézard (éditions Viviane Hamy).
Séance de dédicace de son livre Raison de plus ! (éditions Fayard)
Présentation des éditions Questions Théoriques.
Autour de son livre : Le nouvel ordre psychiatrique : guerre économique et guerre psychologique (éditions Érès).
Autour de son livre : Un mystère plus lointain que l’inconscient (éditions Aubier).
Autour du livre Aux frontières du genre (éditions L’Harmattan).
Pour son livre Rêves oubliés (éditions Sabine Wespieser).
Autour de son livre : Le dernier contingent (éditions Tristram).
Pour son livre Le Vol et la Morale (éditions Anacharsis, collection Les ethnographiques, préface d’Éric Chauvier).
Odette Louiset pour son ouvrage L’oubli des villes de l’Inde : pour une géographie culturelle de la ville (éditions Armand Colin).
À l’occasion de la parution de son dernier roman Et il dit (éditions Gallimard).
Pour l’ouvrage qu’il a co-écrit avec Eyal Sivan : Un État commun entre le Jourdain et la mer (éditions La Fabrique).
Autour de son livre Les imposteurs de l’économie publié aux éditions Jean-Claude Gawsewitch.
Autour de son livre L’objet a – Approches de l’invention de Lacan (éditions Epel).
Pour son livre Ferdinand (éditions L’Atelier In8)
Autour de leur recueil Après tout (éditions Des couleurs et des mots).
« Essais, livres de poésie, écrits d’artistes, traductions, microrécits, prose en tout genre, les publications des éditions de l’Attente embrassent le vaste champ d’une constellation des plus prolixes. À leur actif une quinzaine de formats différents, qui chacun, génère une approche particulière, à l’instar de celle adoptée pour la collection Week-end. Débutée en 97, achevée 4 ans et demi plus tard, cette dernière repose sur un principe marathonien : conçue dans un week-end, tirée la semaine suivante. Aux ingrédients de leur ligne éditoriale : simplicité, quotidienneté et imaginaire, s’ajoutent une esthétique aérée et minimale, une forme qui raisonne avec le texte et qui s’amuse des associations visuelles et plastiques. « À la fois ludique et sérieux », en somme, comme le dit Franck Pruja, l’un des fondateurs de cette petite maison d’édition née à Bordeaux voilà 20 ans.
Pour la parution de l’ouvrage : Un autre avenir ? Dernier état des droits de l’Homme en France (éditions La Découverte).
Chantal Crenn et Laurence Kotobi pour leur ouvrage : Du point de vue de l’ethnicité (éditions Armand Colin).
Autour de son livre : Qu’est-ce que le travail non qualifié ? (éditions La Dispute).
Pour son ouvrage : Reflets dans un œil d’homme (éditions Actes Sud).
Pour son livre La Havane (éditions Elytis).
Pour leur ouvrage Vive la co-révolution ! (éditions Alternatives).
Rencontre avec Lise Chapuis, traductrice de quelques œuvres d’Antonio Tabucchi.

Autour de son ouvrage : La décennie bordelaise, pour une nouvelle politique urbaine ; entretiens avec Jean Viard (éditions de l’Aube).
Jean-Luc Richelle pour son ouvrage : Une ville socioculturelle ? Animation médiatrice et politique jeunesse à Bordeaux 1963-2008 (Carrières Sociales éditions)
Conférence autour de l’ouvrage : Adrien Marquet : secrets et souvenirs (éditions Dossiers d’Aquitaine)
Pour son livre Les autistes doivent-ils nous écouter ou devons-nous les entendre ? publié aux éditions du Losange.
Pour son livre : Cinq ciels (éditions Gallmeister).
Pour son livre : Le Meilleur des jours (éditions Sabine Wespieser).
François Hulbert, géographe Professeur émérite de l’université Paul Verlaine de Metz et de l’université Laval à Québec, pour son ouvrage : En finir avec l’organisation centralisée du territoire (éditions l’Harmattan)

autour de ses ouvrages : Jour de marché (éditions Liana Lévi), Bleu ciel et or, cravate noire et Federico ! Federico ! (éditions Verdier)
Pour l’ouvrage L’entreprise du XXIe siècle sera sociale (ou ne sera pas) publié par les éditions Rue de l’échiquier, co-écrit avec François Bottollier-Depois et Nicolas Hazard.
Pour son livre La beauté (éditions Autrement).
Autour de son ouvrage La Capitana (éditions Métailié).
Rencontre avec Michel Bousseyroux, Anne-Marie Combres, Albert Nguyên et Didier Castanet,
Pour son roman : Ce que savait Jennie (éditions Calmann-Lévy).
À propos de la parution de ses ouvrages : La gauche est-elle en état de mort cérébrale ? et Marx XXIe siècle : textes commentés (éditions Textuel).
politiques et dans les milieux artistiques – et où pourraient se développer des idées renouvelées à partir d’un rapport critique aux traditions héritées…
À l’occasion du centenaire de sa création, la Ligue pour la protection des oiseaux organise du 19 au 25 novembre la première édition du
Pour son livre : Séparation (éditions Les liens qui libèrent).
Organisé par la Cimade, le festival
Autour de son livre : Journal de taule (éditions l’Harmattan).
Présentation de la collection Fiction à l’œuvre (co-édition Confluences – Frac Aquitaine) avec Valérie Mréjen : La bonne réputation : à partir d’une œuvre de Manuel Alvarez Bravo et Frédéric Léal : La nostalgie, camarade ? : à partir d’une œuvre de Hubert Duprat.
2011. Elle a également publié plusieurs récits, Mon grand-père, 1999, L’Agrume, 2001, Eau sauvage, 2004 (Allia), et Forêt noire, 2012 (POL).
Pour son premier roman Ni ce qu’ils espèrent ni ce qu’ils croient publié aux éditions Allia.
Pour son ouvrage : La crise sans fin, essai sur l’expérience moderne du temps (éditions du Seuil).
À propos de son ouvrage Manifeste Féministe (éditions Autrement).
Henri Galeron dédicacera son album Paysajeux, une image peut en cacher une autre ! (éditions Les Grandes Personnes, 2012).
Dédicace par Philippe Coudray de son album L’ours Barnabé, intégrale tome 3 (éditions La boîte à Bulles).
Pour son livre : Calcul moral, ou comment raisonner en éthique (éditions Armand Colin).
Autour de l’ouvrage collectif : Terrains d’écrivains : littérature et ethnographie, publié aux éditions Anacharsis.
Autour de l’ouvrage collectif : « Arts et culture dans la mondialisation. Il était une fois… Bordeaux, Paris, l’Aquitaine« , dirigé par Christian Sallenave, illustrations photographiques de Jean-Pierre Boisseau et publié aux éditions Bastingage.
Rencontre avec Françoise Bertero (peintre et vidéaste), Didier Delahais (ecrivain et comédien) et Claudio Stellato (chorégraphe).
Pour son récit Théorème vivant publié aux éditions Grasset.
Pour son roman Le chat de Schrödinger (éditions Gallimard).
Pour son livre : Mécano des lettres pas mécaniques (éditions Thélès).
Autour de leur ouvrage Cet être devant soi (éditions Æncrages).
Présentation de la dix-neuvième livraison de la revue L’En-je lacanien : L’esp d’un laps (éditions Érès) par les rédacteurs Michel Bousseyroux, Didier Castanet, Dominique Marin et Gérard Pommier.
Autour de ses dernières publications Les mutations de la lecture (Presses Universitaires de Bordeaux) et L’industrie des lettres (éditions Pocket).
À propos de son ouvrage L’aventure de la philosophie française publié aux éditions La Fabrique.
Chantal Blanc-Pamard, Florence Pinton et Hervé Rakoto-Ramiarantsoa pour leur ouvrage : Géopolitique et environnement, les leçons de l’expérience malgache (éditions de l’IRD).
Pour son récit Jusqu’au cou publié aux éditions Confluences.
Autour de son ouvrage : Fin de l’Occident, naissance du monde (éditions du Seuil).
Pour son dernier roman Profanes publié aux éditions Actes Sud.
Avec le collectif
Autour de son dernier roman Écoute la pluie et de la réédition de Victor Dojlida, une vie dans l’ombre aux éditions Sabine Wespieser.
À propos de l’ouvrage collectif Patrimoine et développement durable publié aux éditions Confluences.
Pour son livre : L’affaire Jean Zay : la République assassinée publié aux éditions Calmann-Lévy.
Autour de son livre Individu premier, cinématographie de Bernard Stiegler, publié aux éditions de l’Attente.
Pour son roman Malentendus publié aux éditions Actes-Sud.
Pour une rencontre-dédicace de son ouvrage Les rivières souterraines ( éditions À vos pages).
Pour ses ouvrages Poèmes de la soif physique et de la douleur (éditions Le Bleu du ciel) et eau « asie » (éditions Script).
Jean-Christophe Gay pour l’ouvrage : Atlas de la Nouvelle-Calédonie (éditions de l’IRD), codirigé avec Élisabeth Habert et Jacques Bonvallot.
Pour son ouvrage : Que peut la philosophie ? Être le plus nombreux possible à penser le plus possible publié aux éditions du Seuil.
Autour de son ouvrage La Gestapo et les Français publié aux éditions Pygmalion.
Pour son livre Made in Germany, le modèle allemand au delà des mythes publié aux éditions du Seuil.
Pour son ouvrage Le jardin naturel publié aux éditions du Rouergue.
Christine Chivallon pour son ouvrage : L’Esclavage, du souvenir à la mémoire ; contribution à une anthropologie de la Caraïbe publié aux éditions Karthala.
Marges, limites, frontières de la poésie, rencontre autour de la collection Poésie aux éditions Flammarion, avec :
Pour son livre Encore et jamais, variations publié aux éditions Gallimard.
Pour son livre : Une autre façon de faire de la politique publié aux éditions Le Temps des cerises.
Autour de l’ouvrage collectif dont il a assuré la direction : La Bio entre business et projet de société publié aux éditions Agone.
Autour de son roman Si tout n’a pas péri avec mon innocence publié aux éditions P.O.L.
Autour de leur ouvrage Bordeaux ; Hier / Aujourd’hui publié aux éditions Wartberg.
Pour son livre La richesse, la valeur et l’inestimable publié aux éditions Les Liens qui libèrent.
Rencontre débat, au cinéma Utopia, autour de son livre Vive l’Agro-Révolution française ! (éditions Belin).
Considéré comme l’un des jazzmen les plus novateurs de sa génération, Kahil El’Zabar est à la fois multi percussionniste, poète, chanteur, leader communautaire et membre de l’AACM (coopérative d’artistes noirs américains). Jazzman de formation mais également poète et avant-gardiste dans sa conception et son approche des arts, il mêle la modernité du jazz aux racines africaines avec un style musical innovant. Il s’est produit et a enregistré avec de grands musiciens tels que Dizzy Gillespie, Donny Hathaway, David Murray, Stevie Wonder, Paul Simon et plus récemment Pharoah Sanders.
Pour son livre Roma/Roman publié aux éditions Actes-Sud.
Pour son ouvrage Retour à Marx : pour une société post-capitaliste publié aux éditions Buchet-Chastel.
Autour de son livre « Car les grandes villes, Seigneur… » publié aux Éditions fario.
Pour son livre Alias Ali (éditions Fayard).
Autour de son livre La psychanalyse comme éthique, suivi Du grain à moudre, publié aux éditions Érès.
Autour de son ouvrage Constituer la politique en bien commun publié aux éditions La Brochure.
Pour son livre L’Étrange capitulation publié aux éditions Jean-Claude Gawsewitch.
À l’occasion de la parution de son roman Sous la ville rouge (éditions Gallimard).
Autour de l’ouvrage dont elle a assuré la direction : Freud et la guerre publié aux éditions Michel de Maule.
Né à Momuy, dans les Landes, le 2 octobre 1943, Pierre Veilletet est mort le 8 janvier 2013, à Bordeaux. « C’est un journaliste magnifique et paradoxal qui s’est éloigné sans prévenir », écrit Yves Harté dans Sud-Ouest, journal que Veilletet avait illustré au plus haut niveau.

Pour le livre Une Rive, l’Autre publié aux éditions La part des anges, collection Mémoire(s) de l’eau.
Pour son livre Éphèse, l’exil d’Héraclite publié aux éditions Atelier de l’agneau.
Hervé Le Bras pour son livre, co-écrit avec Emmanuel Todd : Le Mystère français publié aux éditions du Seuil.
Pour son roman Road Tripes publié aux éditions Albin Michel.

Autour de ses deux recueils : Gaza, d’ici-là (éditions Al Dante) et États de faits (éditions de l’Attente).
Pour son livre Théorie du drone publié aux éditions La fabrique.
Arnaud Alessandrin et Yves Raibaud pour leur ouvrage : Géographie des homophobies (éditions Armand Colin).
À propos de l’ouvrage qu’il a co-dirigé avec François Ruffin : Vive la banqueroute ! : comment la France a réglé ses dettes, de Philippe le Bel au général de Gaulle publié chez Fakir Éditions.
Autour de ses romans : Polaire (Gallimard, 2013), Un voyage humain (Gallimard, 2011), L’homme pacifique (Gallimard, 2009).
Pour le livre qu’il vient de publier avec Isabelle Allende : Chili : un road movie sur les traces de Salvador Allende ! (éditions Privat). L’ouvrage paraît à l’occasion du 40e anniversaire du coup d’état du 11 septembre 1973 et de la mort de Salvador Allende.
Pour son roman Le choix de Victor publié aux éditions Vents Salés.
Autour de son ouvrage : La photo n’est pas sensible. À partir d’œuvres de Pierre Molinier publié dans la collection Fiction à l’œuvre (co-édition Confluences/Frac Aquitaine).
Autour du livre Cracovie, le film de l’intranquillité, ouvrage dirigé par Pierre Baumann, publié dans la collection « Un artiste des étudiants » aux Presses universitaires de Bordeaux.
Présentation de la vingtième livraison de la revue L’En-je lacanien : Inhibition, symptôme et angoisse (éditions Érès) par les rédacteurs Michel Bousseyroux, Didier Castanet, Bruno Geneste, Luis Izcovich et Albert Nguyên.
Pour son roman Le philosophe amoureux paru aux éditions Odile Jacob.
Rencontre avec Pierre-Ulysse Barranque et Laurent Jarfer autour de l’ouvrage collectif dont ils ont dirigé la publication : In situs, Théorie, Spectacle et Cinéma chez Guy Debord et Raoul Vaneigem (Gruppen éditions).
Rencontre avec l’éditeur Claude Rouquet et les auteurs David Collin, Allain Glykos et Marc Mauguin.
Françoise Rollan pour son ouvrage : Quand la violence déplace : mémoires et migration forcées depuis et vers la Turquie publié à la Maison des Sciences de l’Homme d’Aquitaine.
En compagnie de l’éditrice Caroline Coutau, avec des lectures de textes en allemand et en français par les écrivains Matthias Zschokke, Aude Seigne et le comédien Gilles Tschudi.
Pour son roman Art nègre, publié aux éditions Buchet-Chastel.
Pour son roman Immortelles publié aux éditions Grasset.
Autour de son roman Confiteor paru aux éditions Actes-Sud.
Pour son roman Petites scènes capitales publié aux éditions Albin Michel.
Autour du livre Bergerac ; histoire en images publié aux éditions Les Dossiers d’Aquitaine.
Pour son livre Gestes Lyriques, paru aux éditions Corti.
Pour son livre Toxique Planète, le scandale invisible des maladies chroniques publié aux éditions du Seuil.
Pour son roman Une si lente obscurité publié aux éditions Tristram.
À propos de son ouvrage Sur l’espace subjectif publié aux éditions Hermann.
Pour la parution du septième volume de son Journal : Apaisement 1997-2003 aux éditions P.O.L.
Jean-Pierre Augustin pour l’ouvrage qu’il a codirigé avec Sylvain Lefebvre et Romain Roult : Les nouvelles territorialités du sport dans la ville publié aux Presses de l’Université du Québec.
Autour de son ouvrage Les intermittents en scène. Travail, action collective et engagement individuel publié aux Presses Universitaires de Rennes.
Pour l’ouvrage qu’elle a codirigé avec Emmanuelle Granier : L’Adolescent entre marge, art et culture (éditions Érès).
Autour de son livre La politique de l’individu (éditions du Seuil).
Présentation de l’ouvrage Musicalarue, le livre (1968-2014) publié aux éditions confluences.
Pour son roman La grâce des brigands publié aux éditions de l’Olivier.
Pour son roman Bel-Air paru aux éditions Liana Levi.
Pour son roman La parabole du failli (éditions Actes Sud).
Autour de la « presqu’anthologie » publiée par les éditions Le Castor Astral : L’Ébranleur des Zincs.
Dédicace de son dernier album : Le Mange-doudous (L’école des loisirs).
Pour la parution de son livre Tout dort en paix, sauf l’amour ; un nécessaire malentendu V aux éditions Le bleu du ciel.
Autour de son recueil de poèmes La cendre au cœur (éditions L’Ire des marges).
Rencontre dédicace autour de ses livres : Nina Têtemba, Ploc Ploc, la grenouille aux yeux d’or et ABC animaux insolites, publiés aux éditions Balivernes.
Dédicace de son dernier album : C’est moi le chef ! (éditions Belin).
Dédicace de l’ouvrage qu’elle a illustré Coeurs de jungle (éditions Belin).
Rencontre dédicace autour de ses livres : La mer et lui (Notari), L’arbre de Paix, (Flammarion) et Le bestiaire fabuleux (Gautier-Languereau).
Signature dédicace de leur ouvrage Pêcheur publié aux éditions Confluences.
Serge Briffaud et Emmanuelle Heaulmé pour leur ouvrage : Chantilly au temps de Le Nôtre et du Grand Condé, histoire sociale d’une entreprise jardinière (éditions Olschki).
Pour son roman Asparagus publié aux éditions P.O.L.
Pour son livre Chambres de Proust publié aux éditions Flammarion.
Autour de son livre Pouvoir, servitude et idéologie, publié aux éditions Le Temps des Cerises.
Autour de son ouvrage auto-édité : Le grand bleu de l’émancipation.
Pour son livre : Persécutions et entraides dans la France occupée (co-édition Les Arènes – Le Seuil)
Pour son livre Adour, histoire fleuve (éditions Le Festin).
Pour son livre : Politiques du spectateur, les enjeux du théâtre politique aujourd’hui
Pour son ouvrage L’événement Socrate publié aux éditions Flammarion.
Présentation de la vingt-et-unième livraison de la revue L’En-je lacanien : Poéthique de l’analyste (éditions Érès) par les rédacteurs Michel Bousseyroux, Didier Castanet, Marie-José Latour et Jacqueline Patouet.

Lectures d’albums par Noémie Robert, accompagnement musical de Vénaïg Péchard (flute traversière irlandaise). Pour cette première scéance, La Machine à conter vous amènera à la rencontre de l’hiver, de sa magie et de ses mystères.

À l’occasion de la parution de l’ouvrage inédit : 1789-1792 / 1792-1794 les deux Révolutions françaises aux éditions Utovie.
Qu’est-ce que la poésie ?
Pour son livre Un peu la guerre, publié aux éditions Grasset.
Rencontre avec Xavier Daverat, autour du roman de Forrest Carter : Josey Wales hors-la-loi, publié aux éditions Passage du Nord-Ouest.
Autour de leur ouvrage Roms & riverains ; une politique municipale de la race (éditions La fabrique).

Pour son livre : Demain est aujourd’hui ; récit amoureux de Bordeaux aux éditions Le Bord de l’eau.
Pour son roman : Prières nocturnes publié aux éditions Métailié.
Pour son roman Les Anges à part publié aux éditions Rivages.
Jean-Paul Engélibert pour son ouvrage : Apocalypses sans royaume. Politique des fictions de la fin du monde, XXe-XXIe siècles publié aux éditions Classiques Garnier.
Avec François-René Simon, éditeur et préfacier de deux inédits de Stanislas Rodanski : Substance13 (éditions des Cendres) et Je suis parfois cet homme (éditions Gallimard).
Rencontre autour du livre de Gérard Mordillat Le miroir voilé et autres écrits sur l’image (éditions Calmann-Lévy) avec l’auteur et Ernest Pignon-Ernest.
Dan Ferrand-Bechmann et Yves Raibaud pour leur ouvrage : L’engagement associatif dans le domaine de la santé (éditions L’Harmattan).
Pour son dernier roman Après la guerre publié aux éditions Rivages.

Autour de son ouvrage Comment la souffrance se dit en rêve, un regard ethnopsychiatrique publié aux Presses Universitaires de France.
Avec Michael Bishop et Jean-Paul Michel.
Pour son ouvrage, co-écrit avec Catherine Coquery-Vidrovitch : Être esclave, Afrique-Amériques, XVe-XIXe siècle publié aux éditions La Découverte.
Pour son livre Identités : la bombe à retardement publié aux éditions Textuel.
À propos de la parution de son roman Échanges (éditions Versilio).
Autour de son ouvrage co-écrit avec Armand Mattelart : Le profilage des populations. Du livret ouvrier au cybercontrôle (éditions La Découverte).
Dialogue autour de 

Hervé Rakoto Ramiarantsoa pour son ouvrage : Biodiversités en partage (IRD éditions).
Autour de leur ouvrage : Match, rugby et poésie (éditions Atelier Baie).
Autour de ses livres :
Autour de son livre Les affects lacaniens (Presses Universitaires de France).
Pour son livre : Le chiffre d’affaires. Enquête au cœur d’une grande surface (éditions Le Bord de l’eau).
À propos de son roman Flic de papier publié aux éditions Vents Salés.
Pour son livre Y a-t-il encore une différence sexuée ? publié aux éditions Érès.
Nous sommes sincèrement désolés de vous annoncer qu’Alain Planche ne pourra honorer sa venue le 27 mai.
Pour son recueil : Factures du temps publié aux éditions Le Bleu du ciel.
Pour son ouvrage : Lévi-Strauss publié aux éditions du Seuil.
Pour son ouvrage : Au risque d’enseigner publié aux Presses Universitaires de France.
Julien Béziat pour son ouvrage : La carte à l’œuvre ; cartographie, imaginaire, création publié aux Presses Universitaires de Bordeaux.
Pour son roman Le pyjama noir (éditions Vents salés).
Autour de son roman Les collines d’eucalyptus publié aux éditions Sabine Wespieser.
Pour son livre Filmer l’invisible publié aux éditions La Cause du Poulailler.
Autour de son édition des chansons de Guillaume d’Aquitaine : Le Néant et la joie aux éditions Fédérop.


À propos de son ouvrage Des Verts à EELV, 30 ans d’histoire de l’écologie politique publié aux éditions Les Petits matins.
Soirée de lancement et baptême des kayaks de Donatien Garnier.
Sylvie Ayral et Yves Raibaud pour leur ouvrage Pour en finir avec la fabrique des garçons (2 volumes) publié à la Maison des Sciences de l’Homme d’Aquitaine.
Pour son livre : Un certain regard : abécédaire de 14 années de chroniques sur l’architecture moderne et contemporaine (éditions Archibooks).
Pour son livre : Science et foi. Une rivalité séculaire (éditions Golias).














Autour de la littérature noire et policière.









Carte blanche à l’éditeur Jean-Paul Michel.



Jeu surprise organisé par 

Présentation du livre Les mondes insurgés. Altermanuel d’histoire contemporaine (La librairie Vuibert).
Pour son ouvrage co-écrit avec Marivi Galan-Ancibure : La méchanceté ordinaire, publié aux éditions La Muette / Le Bord de l’eau.

Pour son roman Joseph publié aux éditions Buchet-Chastel.

Pour son roman Jacob, Jacob publié aux éditions de l’Olivier.

Pour son livre Elles en chambre publié aux éditions de l’Attente.


Autour de l’ouvrage : Un atlas du Sahara-Sahel. Géographie, économie et insécurité (éditions de l’OCDE).
Pour son livre Mariage pour tous. Divorce chez les cathos publié aux éditions Plon.
Pour son ouvrage Jack London publié aux éditions Gallimard (collection Folio-Biographies).
Autour de la littérature noire et policière
Pour son livre Un magistrat politique, enquête sur Jean-Claude Marin, le procureur le plus puissant de France (éditions Pygmalion).






Pour son roman Au fer rouge publié aux éditions Ombres Noires.

Pour ses derniers ouvrages : Ligne & Fils (éditions P.O.L) et Ligne 12 (illustrations de Marion Fayolle, Le Square, 2014).
Pour son livre De l’eau jusqu’à la taille publié aux éditions L’Ire des Marges.





Pour le livre JonOne : The Chronicles (David Pluskwa Art contemporain édition)
Pour son roman Ground zero publié aux éditions du Rouergue.
Autour de son livre Nos idoles publié aux éditions confluences.
Pour son livre L’inconscient de l’Islam. Réflexions sur l’interdit, la faute et la transgression (CNRS éditions).

Carte blanche à l’écrivain danois Jørn Riel.
Pour son livre La Guerre d’Espagne ne fait que commencer (éditions du Seuil).
Avec Patrick Deval et Lionel Larré pour leurs livres respectifs : Squaws, la mémoire oubliée (Hoëbeke) et Histoire de la nation cherokee (Presses universitaires de Bordeaux) .


Pour son ouvrage Roland Barthes contemporain publié aux éditions Max Milo.












Pour son roman La vie plus un chat publié aux éditions Passiflore.









Dans le cadre du festival 



Autour de son livre Le rugby publié aux éditions confluences.

Pour son roman La Brigade du rire (ce que nous sommes) publié aux éditions Albin Michel.
Autour de son ouvrage Désastres urbains. Les villes meurent aussi (éditions La Découverte).
Présentation de l’ouvrage collectif L’industrie pharmaceutique. Règles, acteurs et pouvoir (La documentation Française).

Pour son roman Ce pays qui te ressemble publié aux éditions Stock.
Pour la parution de ses ouvrages Poétique de famille et N’en parlons plus publiés aux éditions L’Escampette.







Autour de l’ouvrage qu’ils viennent de publier : Terrorisme, émotions et relations internationales : mise en perspective des attentats de janvier aux éditions Myriapode.
Pour son livre Chaban-Delmas, l’ardent (La documentation Française).





Autour de l’ouvrage Peindre, être debout, le dire (Association Mana, 2014).
Comme c’est le cas depuis quelques années avec les ateliers Aleph, La Machine à Lire a le plaisir d’accueillir en ses murs un nouvel atelier d’écriture.
Au cinéma 
Séance de dédicace de l’ouvrage Nelson, le coffret (éditions Les Grandes Personnes)
Autour de son livre Les dessous de la cacophonie climatique publié aux éditions La ville brûle.
Soirée de présentation du hors-série : 101 objets et symboles qui racontent Bordeaux de A à Z aux éditions Le festin.



Pour son livre Extrêmes et lumineux publié aux éditions Verdier.
Présentation par Aymeric Monville de l’ouvrage de Geoffrey Roberts : Les guerres de Staline ; de la guerre mondiale à la guerre froide 1939-1953 publié aux éditions Delga.
Pour son roman Boussole publié aux éditions Actes Sud.
Un dimanche insolite : Des mots et des livres.


Autour de l’ouvrage Les autres visages de la Russie. Artistes, militants, journalistes, citoyens… face à l’arbitraire du pouvoir publié aux éditions Les Petits matins.

Séance de dédicace de son album Daho, l’homme qui chante (éditions Delcourt).
Pour la nouvelle édition de son livre, co-écrit avec Olivier Philipponat : Dictionnaire superflu de la musique classique publié aux éditions Le Castor Astral.
Séance de dédicace autour du livre : Caudéran (éditions le Festin).



Pour son roman Kannjawou publié aux éditions Actes Sud.
Autour de l’ouvrage Décroissance. Vocabulaire pour une nouvelle ère dont il est l’un des rédacteurs et de la collection Les Précurseurs de la décroissance (éditions Le Passager Clandestin).


Nous avons le regret de vous informer de l’annulation de cette rencontre.

Nous avons le regret de vous informer de l’annulation de la rencontre avec Dominique Sigaud et Martine Laval.




















Mini concert autour du disque Violoncelle 5 cordes édité chez Triton.
Autour de son livre Caché dans la maison des fous publié aux éditions Bruno Doucey.
Autour de la Revue Lumières publiée par les Presses Universitaires de Bordeaux.
Autour de son livre Le choc des décolonisations. De la guerre d’Algérie aux printemps arabes publié aux éditions Odile Jacob.
Autour de son livre Parfois, je dessine dans mon carnet publié aux éditions de l’Attente.
Autour du livre Le métier de psychanalyste publié aux éditions Erès.





Autour du livre Les mesures du territoire publié aux Presses de l’enssib.
Autour de son livre Bande-Annonce, collection Le Refuge en Méditerranée, aux éditions du cipM.
Autour de son livre Coeur volant publié aux éditions Gallimard.
Mini-concert pour la sortie de Grand Feu chez Velvet Coliseum.
Autour de son livre Les enfants du chaos : essai sur le temps des martyrs publié aux éditions La Découverte.
Autour de son livre Simone, éternelle rebelle publié aux éditions Fayard.