- Dans la catégorie : littérature
|
Le Wok Machine à Lire guide vos lectures |
« Même les cow-girls ont du vague à l’âme », Tom ROBBINS« Même les cow-girls ont du vague à l’âme », Tom ROBBINSÉd. Gallmeister |
« Le projet Lazarus », Aleksandar HEMON« Le projet Lazarus », Aleksandar HEMON |
« Le Londres-Louxor », Jakuta ALIKAVAZOVIC« Le Londres-Louxor », Jakuta ALIKAVAZOVIC Éditions de l’Olivier |
Le nazi et la barbier, Edgard Hilsenrath« Le nazi et le barbier », Edgard HilsenrathÉd. Attila |
Élégie en rouge, Seiichi Hayashi« Élégie en rouge », Seiichi Hayashi Éd. Cornélius
|
Vango, Thimotée de Fombelle« Vango », Thimotée de FombelleEdition Gallimard jeunesse,
|
Dictionnaire des personnages populaires de la littérature du XIXème et XXème siècle« Dictionnaire des personnages populaires de la littérature du XIXème et XXème siècle » par Stéphanie Delesté et Hagar DesantiEditions Du Seuil
|
Tranches napolitaines, Alfred, Mathieu Sapin, Anne Simon, Bastien Viviès« Tranches napolitaines », Alfred, Mathieu Sapin, Anne Simon, Bastien Viviès Éd. Dargaud |
Dans la cathédrale, Christian Oster« Dans la cathédrale », Christian OsterLes Editions De Minuit 13,50 Euros |
La couleur du bonheur, Wei-Wei« La couleur du bonheur », Wei-Wei Éditions du Seuil , coll. Points |
Sept ans, Peter Stamm,« Sept ans », Peter Stamm,
|
Eschyle en Mayenne, Jean-Loup Trassard« Eschyle en Mayenne », Jean-Loup TrassardAux, éditions Le Temps qu’il fait 22,00 Euros |







Sissi Hankshaw est dotée d’une excentricité : la taille de ses pouces excède largement la moyenne. Elle décide d’en user et devient la plus grande auto-stoppeuse des États-Unis.
Chicago 1908. Lazarus, jeune juif Ukrainien, trouve la mort dans d’étranges circonstances, tué par le chef de la police. Un siècle plus tard Vladimir, écrivain d’origine Bosniaque, s’attache à ce fait divers et part en Europe sur les traces du disparu. À travers son histoire c’est aussi celle plus intime de Vladimir, de la Bosnie déchirée et de l’exil qui s’écrit et se dévoile tout au long de ce magnifique roman.
Avec une « note sur l’architecture du bâtiment » en guise de prologue, ce livre ne manque pas de surprendre dès les premières pages. Ce bâtiment, le Londres-Louxor, est un ancien cinéma des années vingt, un lieu où se croisent, s’observent, se rassemblent des personnes issues de la diaspora bosniaque, à Paris. Pour commencer, nous suivons Esme qui vient là dans l’espoir d’y retrouver sa soeur. Très vite, le ton original de l’auteur, l’atmosphère mystérieuse nous emportent et nous goûtons avec plaisir au lignes, évoquant l’art, la littérature, l’architecture. Il est aussi question d’amour, d’argent, d’exil. À la lecture de ce roman déroutant, nous oscillons bien souvent entre rêve et réalité.
Max Schultz, SS dans un camp d’extermination, fuit l’Allemagne vaincue pour la Palestine sous l’identité de son ami d’enfance, Itzig Finkelstein, barbier juif assassiné avec toute sa famille. Mais comment un nazi peut-il devenir un sioniste fanatique? C’est ce que Max nous raconte dans les 500 pages de farce grotesque et d’humour noir. Un texte affreux, sale et méchant, où personne n’est épargné.



Jean ne va pas bien. Il se sent détaché de sa vie, à côté. D’ailleurs, il ne reconnait pas Elisabeth, sa nouvelle voisine qu’il aurait pourtant bien connu 20 ans auparavant.
Alexander et Sonia se rencontrent pendant leurs études d’architecture. À la suite d’un voyage à Marseille, ils vont former un couple à qui tout semble réussir: ils sont beaux, intelligents et ambitieux. Ils vont collaborer ensemble dans un cabinet d »architecture.